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Date de création : 01.11.2013
Dernière mise à jour : 21.06.2020
661 articles


CHAUFFAGE CENTRAL

CHAUFFAGE CENTRAL EXEMPLE DE SCHEMA

Publié le 24/01/2016 à 14:45 par francisservices19
CHAUFFAGE CENTRAL EXEMPLE DE SCHEMA

Légende :
1 régulation
2 vase d'expansion
3 clapets anti-thermosiphon
4 circulateurs
5 soupapes différentielles
6 disconnecteur de remplissage
7 vanne 3 voies motorisée
8 vanne 4 voies motorisée
9 sonde de départ
10 sonde ECS
11 soupape de sécurité

une info du site :

http://herve.silve.pagesperso-orange.fr/shemasfuelgaz.htm

 



A quoi sert un clapet anti-retour ?

Publié le 22/01/2016 à 07:10 par francisservices19 Tags : article texte background
A quoi sert un clapet anti-retour ?

Conformément au règlement sanitaire, les installations intérieures d’eau ne doivent pas être susceptibles, du fait de leur conception ou de leur réalisation, de permettre à l’occasion de phénomènes de retour d’eau, la pollution du réseau public d’eau potable par des matières résiduelles, des eaux nocives ou toute autre substance non désirable.

Pour éviter les phénomènes de retour d’eau, les installations doivent être munies d’un clapet anti-retour d’eau, monté après le compteur individuel.

Qu’est-ce qu’un retour d’eau ?

C’est l’inversion du sens normal de circulation de l’eau dans un circuit, suite à une inversion des pressions.

La pression en aval peut augmenter du fait de la dilatation du fluide d’un circuit (cas des réseaux de chauffage) ou plus couramment du fait de la présence d’une pompe de surpression dans le circuit ; ce qui risque de conduire à un retour d’eau vers l’amont.

Quelles sont les principales causes d’un retour d’eau ?

  • un chauffe-eau défectueux (clapet interne soumis à l’usure)
  • un système de récupération d’eau de toiture défectueux
  • des surpresseurs individuels mal réglés, en cas d’installation de pompe de recyclage d’eau (puits dans les fondations d’une maison par exemple).

Qu’est ce qu’un clapet anti-retour ?

Il s’agit d’un petit appareil dont le principe est de ne laisser passer un fluide que dans un seul sens. Il est toujours situé après compteur.

Pour les nouveaux branchements, le SIEM se charge de tout !

En cas de nouveau branchement, le SIEM se charge systématiquement de l’installation des clapets anti-retour. Les clapets sont munis d’un système de purge facilitant l’entretien du réseau d’alimentation d’eau.

Pour les habitations plus anciennes, démunies de clapets, il revient au propriétaire de faire installer l’appareil par un plombier.

une info du site

http://www.eaux-moises.com/A-quoi-sert-un-clapet-anti-retour.html

ceci est une info.



organes du réseau de chauffage

Publié le 20/01/2016 à 20:06 par francisservices19 Tags : image vie tubes air pouvoir lecture infos éléments
Les infos sont destiné a vous aider a comprendre les nombreux éléments d'un chauffage. Les organes du réseau de chauffage :

 

Sur chaque réseau de chauffage vous devez trouver un générateur de chaleur, des émetteurs de chauffage et différents organes de sécurité,  de contrôle et de fonctionnement. Ces organes peuvent être incorporés ou non à la chaudière.

 

Le disconnecteur :

 

Soupape de sécurité :

 

Vase d’expansion :

 

Manomètre :

 

Circulateur :

 

Soupape de pression  différentielle :

 

Système de régulation :

 

Vanne 3 voies :

 

Purgeurs automatiques ou manuels :

 

Clapet anti retour :

 

Aquastats (sécurité et controle), thermostats, thermomètres :

 

Vidange :

 

Robinets et coudes de réglage, et les robinets thermostatiques :

 

Le disconnecteur :

 

 

 

Le disconnecteur

 

 

 

Vase d’expansion :

 

 

Symbole du vase d'expansion

 

Le vase d'expansion chauffage

Cet organe absorbe la « dilatation » de l’eau lorsqu’elle est chauffée. En effet la température de l’eau du circuit de chauffage varie sans cesse : sa pression aussi. Le vase fait « tampon » et maintient la pression stable, en absorbant cet accroissement du volume d’eau. Ce vase a une membrane en caoutchouc qui le divise en deux parties étanches. D’un côté du vase il y a de l’azote (ou air comprimé) sous pression, l’autre partie est connectée au circuit de chauffage et est donc remplie d’eau. Lorsque la température du circuit  augmente, la pression augmente aussi, la paroi en caoutchouc est poussée et déformée : il y a donc plus de place pour l’eau, la pression reste stable. Organe de sécurité et de fonctionnement indispensable. Se place sur le retour du circuit de chauffage (températures plus faibles : meilleure durée de vie de la membrane). Cet organe est à surveiller, et à changer régulièrement. Si vous devez remettre de l’eau constamment dans votre circuit, il y a de grandes chances que le vase soit défectueux. Il faut le regonfler ou le changer si la membrane est endommagée.

 

Il est judicieux d’installer une vanne juste en amont du vase pour pouvoir l’isoler facilement et donc le changer facilement si besoin ( sans avoir besoin de vidanger toute l’installation).

 

Manomètre :

 

 

 

Symbole du manomètre

 

Le manomètre chauffage

Cet appareil de mesure permet de lire la pression du circuit de chauffage. Cet organe est fragile et obligatoire. Il est généralement placé à un endroit facilement visible et près du disconnecteur, pour pouvoir remplir le circuit à pression désirée (en moyenne  à 1 ou 1,5 bars pour les installations domestiques). Sa lecture régulière vous permettra de surveiller votre installation : la pression du réseau doit rester stable. Utiliser l’aiguille témoin pour voir si elle varie ou non.

 

L’aquastat  est une sonde qui mesure la température de l’eau. Elle peut être placée : en contact avec le tuyau, dans un doigt de gant, ou immergée.

 

 

Thermomètre

Les thermostats sont eux aussi des appareils de mesure de température , mais ils mesurent la température de l’air ambiant. Veiller à positionner vos thermostats ambiance dans un endroit adapté : pas au dessus d’un radiateur ou à coté d’une fenêtre : ses mesures seraient faussées. Ces mesures sont ensuite transmises au système de régulation.

 

 

Les thermomètres permettent aussi de mesurer la température de l’eau du réseau. Mais cet organe n’en commandera aucun autre. Il est néanmoins très utile car il nous donne la température à un point précis du circuit. Peut être utile sur les nourrices plancher chauffant par exemple.

 

Vidange :

 

 

 

Vanne de vidange

Vous aurez parfois de vider complètement votre installation. Il faut donc prévoir une vanne de vidange au point le plus bas du circuit. L’idéal étant de la raccorder à une évacuation : la vidange du circuit est ainsi facilitée.

 

 

info la maison du plombier

http://www.lamaisonduplombier.com/bureau/les-reseaux-de-chauffage/les-organes-du-reseau-de-chauffage/

 

 

 

 

 



manomètre, vase d’expansion…

Publié le 20/01/2016 à 19:59 par francisservices19 Tags : png mode element
Tout ce qu’il faut savoir sur la pression d’un circuit de chauffage : manomètre, vase d’expansion…
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jeu 11 Décembre 2014

La pression d’un circuit de chauffage joue un rôle important dans le bon fonctionnement d’une installation de chauffage au fioul. Quels outils permettent de surveiller la pression d’un circuit de chauffage ? Quels sont les dispositifs de sécurité permettant d’évacuer un trop plein de pression ? Que faire si la tension est trop basse ou trop élevée ?

manomètre, élément du circuit de chauffage

Le manomètre de pression : un équipement de suivi

Le manomètre de pression d’eau permet de surveiller le niveau de pression exercée par l’eau dans un circuit de chauffage. Il se présente sous la forme d’un cadran avec une grande aiguille, comme c’est le cas pour les outils servant à évaluer la pression des pneus d’un véhicule.

Quel est le niveau de pression recommandé pour un circuit de chauffage ?

La pression d’un circuit de chauffage doit généralement osciller entre 1 et 1,5 bar.
Si ce niveau de pression doit être plus important, votre installateur de chauffage vous l’indiquera. 

Évacuation de la pression du circuit de chauffage : le rôle du vase d’expansion

Le vase d’expansion est un équipement placé sur la partie retour d’un circuit de chauffage. Son rôle consiste à absorber le surplus de pression du circuit de chauffage. En effet, lorsqu’elle chauffe, l’eau se dilate, occupe un volume plus important et tend à faire augmenter significativement la pression du circuit de chauffage.
En cas de pression trop importante, une soupape de sécurité prend généralement le relais afin d’évacuer le surplus de fluide du circuit. Elle s’active lorsque le niveau de pression tarée a été dépassé.

Ces deux dispositifs permettent de contribuer à la sécurité de l’installation de chauffage et à sa pérennité.

Que faire si le niveau de pression de l’installation n’est pas correct ?

Il convient de surveiller régulièrement la valeur indiquée par le manomètre de pression. En effet, une pression trop faible ou trop élevée peut être à l’origine de dysfonctionnements ou de pannes de chauffage. Il arrive par exemple que la chaudière se mette automatiquement en mode sécurité.

Lorsque la pression est trop basse, il est conseillé d’ouvrir le robinet d’eau pour la faire remonter. Laissez le robinet ouvert jusqu’à ce que la pression indiquée par le manomètre soit satisfaisante et corresponde à un niveau normal.

Si la pression du circuit de chauffage est trop élevée, il faut avant tout s’assurer que le robinet de remplissage de l’installation soit fermé. Une fois cela fait, vous pouvez essayer de purger un radiateur afin de faire baisser la pression ou l’ensemble du circuit si cela n’est pas suffisant. Si ces actions demeurent sans effet, contactez un professionnel afin qu’il vienne examiner votre installation.

Bon à savoir :

Si vous êtes trop fréquemment amené à remplir le circuit de chauffage d’eau afin de faire augmenter la pression de votre installation au fioul, il y a de grandes chances pour que le vase d’expansion ne joue plus correctement son rôle. Il convient dans ce cas de faire appel à un professionnel afin qu’il fasse le point sur votre installation de chauffage et qu’il préconise des solutions adaptées. Il sera peut-être nécessaire de changer le vase d’expansion afin que l’installation de chauffage fonction à nouveau correctement.

Pour aller plus loin :



CHAUFFAGE CENTRALE FONCTIONNEMENT

Publié le 20/01/2016 à 09:31 par francisservices19 Tags : internet bonne art lecture dessous pouvoir image vie blog background roman article mode cadre tube tubes google air éléments extrait

l'article est juste destinée a titre d'information pour les différents éléments en général qui compose une installation de chauffage central avec production d'eau chaude :

j'assure juste la surveillance

 

1 régulation

 Régulation par aquastat

  

Régulation par aquastat

 

 Les chaudières sont systématiquement équipées d'un aquastat de sécurité. Il mesure la température de l'eau de la chaudière et se déclenche sur une élévation anormale de température de l'eau à la sortie.

 

Beaucoup d'anciennes chaudières sont régulées directement par un deuxième aquastat réglable manuellement qui commande directement le brûleur de la chaudière pour maintenir une température constante au départ de la chaudière.

   

Cet aquastat peut être situé sur le collecteur de départ raccordé à la chaudière. Il peut aussi être raccordé à un régulateur à étages pour commander en cascade un brûleur 2 allures ou à une régulateur PI ou PID pour commander un brûleur modulant.

 Avec ce mode de régulation simplifié, la température des chaudières et du circuit primaire reste constante toute l'année. Il s'applique aux chaudières qui doivent être maintenues à haute température pour éviter les risques de condensation.

 Ces chaudières ne supportent généralement pas des températures de retour inférieures à 55 .. 60°C, températures qui sont possibles lorsque les circuits secondaires sont régulés en fonction de la température extérieure.

Pour éviter cela, une pompe de recyclage vient puiser de l'eau dans le départ pour réchauffer le retour. Le débit recyclé est ainsi de l'ordre du tiers du débit nominal de la chaudière.

Deux techniques de recyclage peuvent être utilisées : 

    

Régulation en fonction de la température extérieure (régulation en température glissante)

 

On parle de régulation en température glissante de la chaudière ou de régulation climatique.

 

 Une sonde mesure la température extérieure (appelée sonde extérieure). Un régulateur définit la température que doit avoir l'eau au départ de la chaudière en fonction de celle-ci. La loi qui établit la correspondance entre la température extérieure et la température de l'eau est appelée "courbe de chauffe".

   

Par exemple : pour une température extérieure de 3°C, la température de l'eau sera de 70°C.

 La courbe de chauffe est réglable sur le régulateur. Elle dépend de la température de confort souhaitée, du niveau d'isolation du bâtiment et du surdimensionnement des corps de chauffe.

 L'intérêt de ce type de régulation est de diminuer la température moyenne de la chaudière sur l'ensemble de la saison de chauffe (elle sera de l'ordre de 40 .. 45°C) et d'améliorer son rendement saisonnier.

Il n'est applicable qu'aux chaudières "très basse température" dont la température d'eau peut descendre sans provoquer de condensations préjudiciables. Il est également possible de fixer une limite basse (par exemple, 50°C) en-dessous de laquelle, la température de l'eau ne peut pas descendre pour protéger la chaudière. Au-dessus de cette température, la température d'eau est fonction de la température extérieure.

   

Régulation par thermostat d'ambiance

 

 

Ce mode de régulation est appliqué pour les installations de petite puissance (installation sans circuit primaire, avec un unique circuit de distribution dans le bâtiment).

 Un thermostat d'ambiance placé dans un local témoin commande directement la mise en route du brûleur. Il peut aussi commander en parallèle le fonctionnement du circulateur de l'installation, avec une temporisation (il faut une circulation dans la chaudière au démarrage du brûleur et le circulateur évacue la chaleur de la chaudière à l'arrêt).

 Ce mode de régulation ne peut s'appliquer qu'aux chaudières pouvant fonctionner à basse température. En effet, on peut schématiser l'évolution de la température dans la chaudière comme suit :

  

Lors de la relance matinale, le thermostat d'ambiance enclenche le fonctionnement du brûleur, la température de l'eau augmente dans la chaudière, en parallèle de la température ambiance. En général, la chaudière atteindra sa température maximale (fixée par son aquastat) avant que la consigne du thermostat ne soit atteinte. La relance se fait donc à puissance maximale, ce qui est favorable à une relance rapide et économe en énergie.

 Lorsque la température intérieure de consigne est atteinte, le brûleur est coupé. la température dans la chaudière diminue. Cette diminution s'accompagne d'une diminution de puissance des corps de chauffe, jusqu'au moment où le thermostat d'ambiance est en demande. Le brûleur se remet en route et la température de l'eau augmente de nouveau jusqu'à ce que le thermostat soit satisfait, et ainsi de suite.

 La chaudière va finalement se stabiliser à une température d'eau moyenne dépendant de la puissance à fournir par les corps de chauffe et donc dépendante des conditions climatiques. En mi-saison, cette température risque d'être basse, ce qui impose d'utiliser une chaudière "très basse température".

 

On obtient donc une "simili régulation en température glissante".

2 vase d'expansion

 

Rôle du vase d'expansion

 

Le vase d'expansion sert dans un premier temps à compenser les variations de volume que subit la masse d'eau de l'installation suite aux fluctuations de température.

 

Exemple.

Une ancienne installation est équipée de radiateurs à panneaux et d'une chaudière en fonte de 400 kW. Sa contenance en eau est estimée à 4 000 [l].

Le volume d'expansion de l'eau en passant de 10°C (eau de ville) à 90°C est de 142 [l].

 

Le deuxième rôle du vase d'expansion est de maintenir la pression dans l'installation quand celle-ci est complètement refroidie. Dans ce cas, la pression du vase doit empêcher une dépression dans l'installation et ainsi la pénétration d'air source de corrosion.

 

 Vase d'expansion fermé à pression variable

 

 Un vase d'expansion fermé est constitué, dans une enveloppe fermée, d'un volume d'air et d'un volume d'air séparés par une membrane.

 Avant remplissage de l'installation par de l'eau, le vase d'expansion est "gonflé" à une certaine pression d'air (pression calculée lors du dimensionnement).

 Lorsque l'on remplit l'installation d'eau, cette dernière envahit une partie du vase jusqu'à ce qu'une pression minimale dans l'installation (pression mesurée par le manomètre de l'installation et également calculée lors du dimensionnement). Le volume d'eau ainsi contenu dans le vase servira de volume de réserve à l'installation.

 Lorsque l'installation est mise en route, l'eau chauffée se dilate et le volume d'eau dans le vase augmente, comprimant l'air. La pression dans l'installation augmente donc.

 C'est pourquoi on parle de vase d'expansion "à pression variable".

 Vase d'expansion avec membrane et à vessie

 

Vase d'expansion à membrane ou à vessie.

 Il existe des vases d'expansion à membrane ou à vessie. La deuxième solution est plus durable car elle présente moins de risque d'inétanchéité notamment car elle ne présente pas de joint avec la paroi du vase.

  

Vase d'expansion fermé à pression constante

 

 

Un vase d'expansion fermé à pression constante est également constitué.

 

Vase d'expansion ouvert

 

 Il existe encore dans certaines anciennes installations, des vases d'expansion "ouvert".

 Il s'agit de réservoirs disposés au point le plus haut de l'installation. Ils sont ouverts à l'air libre et constituent une réserve d'eau pour l'installation. Ce système a comme inconvénient une absorption permanente d'oxygène par l'eau de chauffage. Celle-ci est d'autant plus importante qu'une circulation importante est entretenue dans le vase.

explications

Le dioxygène qui circule dans l'eau d'un circuit ouvert n'est pas nuisible au chauffage, à proprement parlé, mais aux radiateurs, à la chaudière, aux tuyaux etc... Bref, à tout ce qui est ferreux.

L'eau riche en dioxygène, plus la chaleur, tout cela favorise l'oxydation ( la rouille) et l’accumulation de rouille dans les canalisations et une diminution du contact entre le fluide et le métal qui doit transférer la chaleur.

 

 A ce titre, il est évident que se type de vase d'expansion doit être remplacé par un système fermé.

 
3 clapets anti-thermosiphon

 Fonction

 Le clapet anti-thermosiphon empêche le phénomène de circulation

 naturelle de l’eau dans les installations où la régulation de la

 température ambiante est effectuée par un thermostat relié au

 circulateur.

 Le clapet anti-thermosiphon permet que l’eau arrive aux corps de

 chauffe lorsque le circulateur fonctionne : lorsque le circulateur ne

 fonctionne pas, le clapet se ferme et l’installation reste séparé du

 générateur de chaleur.

 La fonction de clapet de séparation peut être neutralisé à l’aide duvolant. Le clapet peut être utilisé en raccordement droit ou en

équerre en déplaçant le bouchon.

 
4 circulateurs

 
5 soupapes différentielles

 La soupape différentielle sert à préserver le circulateur.en effet, lorsque ce dernier se met en route, il aspire une quantité d'eau pour l'envoyer vers le circuit "aller" de tes radiateurs. Sauf que s'ils sont tous équipés de thermostatiques, il peut arriver qu'ils soient tous fermés. La circulation ne se fait plus, le circulateur "bute contre un mur", et il n'aime pas trop ça. La soupape différentielle est sensible à la surpression provoquée et laisse passer de l'eau entre les tubes aller et retour, tel un radiateur (ouvert), permettant ainsi de perpétuer la circulation et la durée de vie de la pompe. Elle doit être placée après le circulateur. Mais beaucoup laissent plutôt deux radiateurs constamment ouverts (hall d'entrée et sdb) pour économiser l'achat de deux têtes et de la soupape.

 
6 disconnecteur de remplissage

 Le disconnecteur : dispositif indispensable et obligatoire

 Publié par ELYOTHERMchauffage| disconnecteur| eau| principe| protection

 

La réglementation, issue notamment du règlement sanitaire départemental, impose qu’une installation de chauffage ne puisse polluer le réseau d’eau potable public ou un réseau privé collectif en amont, destinée donc à la consommation humaine, par un quelconque retour d’eau polluée vers ce dernier. 

  Ceci pourrait, en particulier, se produire au niveau du système de remplissage de l’installation. Or le circuit de chauffage contient en effet de l’eau non potable, voir potentiellement fort dangereuse pour la santé, avec un mélange de boues, de produits chimiques (inhibiteur de corrosion), d’antigel, mais aussi potentiellement de bactéries …

 L’article 16.7 du règlement sanitaire départemental présente les installations de chauffage comme circuits à risques pour les réseaux de distribution d’eau potable. A cet effet, l’installation ne doit pas pouvoir être en relation directe avec le réseau d’eau potable. En effet, le retour d’eau (c’est-à-dire la circulation inversée du fluide de l’installation vers le réseau) est responsable de 20,6% des cas de pollution (extrait d’une étude menée sur 82 départements entre 1986 et 1988). Le propriétaire de l'installation polluante, lors d’une pollution du réseau, sera civilement et pénalement responsable (Règlement Sanitaire titre 1 art.16).

 Ce même règlement sanitaire départemental prévoit à l’article 16.3 qu’il faut donc prévoir une coupure ou un bac de disconnexion entre le réseau d’eau potable et le circuit fermé de l’installation de chauffage. Les ensembles de protection contre les retours d’eau sont définis dans la norme NF EN 1717. Pour les installations de chauffage à simple échangeur d’une puissance calorifique inférieure à 70kW, ce dispositif s’appelle un disconnecteur, à zone de pressions réduites non contrôlable (type CA). Pour les chaufferies dont la puissance est > 70 kW, l’appareil mis en place est un disconnecteur à zones de pression réduites contrôlables (type BA). Quel que soit leur type, un disconnecteur doit avoir un agrément NF antipollution.

 Sur les chaudières murales, ce dispositif est généralement fourni en standard, intégré à l’appareil. Sur les autres générateurs (chaudière biomasse, pompe à chaleur, chaudière au sol …), il est nécessaire d’ajouter le disconnecteur. La mise en place de ce dispositif incombe à celui qui installe le générateur de chaleur, même en cas de remplacement de chaudière. Pour assurer le remplissage de l’installation (ainsi que pour éviter de fatiguer les clapets par une pression continue), le disconnecteur dispose d’une vanne d’isolement à minima en amont et d’une vanne en aval.
 
Le principe du disconnecteur est de permettre l’ouverture d’une soupape à l’air libre (disconnexion) située entre 2 clapets anti-retour. Lors d’un retour d’eau anormale en amont (siphonnage ou chute de pression) pouvant par exemple arriver dans le cadre de travaux sur le réseau publique, ou dans le cas d’une pression anormalement élevée dans le réseau de chauffage avec un clapet amont fuyard, la soupape s’ouvre empêchant tout retour d’eau.

 

1 - Remplissage

 Le clapet amont est ouvert. Le clapet aval est ouvert. La soupape de décharge est fermée. L’eau s’écoule et il y a remplissage de l’installation de chauffage.

 2 - Arrêt du remplissage

 Le clapet amont est fermé. La soupape de décharge est fermée. Le clapet aval est fermé. L’eau  ne s’écoule plus les robinets amont et aval sont fermés.

 
3 - Surpression en aval ou dépression du réseau d’eau potable

 Le clapet amont se ferme. Le clapet aval se ferme. La soupape de décharge s’ouvre mettant à l’atmosphère la chambre intermédiaire, l’eau s’écoule. Le même phénomène se produit également dans le cas de fuite sur le clapet aval.

 http://blog.elyotherm.fr/2013/09/disconnecteur-indispensable-obligatoire.html

  7/ vanne 3 voies motorisée

 Il s’agit d’un raccord fileté avec une vanne qui a pour fonction de mélanger

 une eau à température élevée provenant d’une chaudière ou d’un ballon

 accumulateur avec une eau à température moindre (retour de l’installationde chauffage) afin de limiter la température de départ.

 La vanne est équipée d’un moteur de type bidirectionnel commandé par la

 régulation climatique. Quand celle-ci demande une augmentation de la température la vanne doit s’ouvrir. Si elle est trop chaude, la vanne doit sefermer. Si la température est correcte, la vanne doit rester dans une certaineposition. Elle est alors en équilibre.

 La vanne 3 voies motorisée s’utilise dans les installations où l’on désireréguler la température de l’eau circulant dans un circuit secondaire. Elle estindispensable pour obtenir une régulation très précise à basse température(plancher chauffant…).

 La vanne 3 voies que nous proposons est référencée : KM3. Elle peut êtreréglée en basse ou haute température et modifiable en 4 voies.

 8 /vanne 4 voies motorisée

 Les vannes trois et quatre voies ou vannes de mélange

 Les vannes 3 voies comprennent 3 orifices. Elles obturent alternativement 2 orifices sur 3, le troisième orifice appelé voie commune restant toujours ouvert.
Elles peuvent jouer plusieurs rôles:

 

·        Le mélange de deux fluides

 

·        La commutation

 

·        La répartition

 

·        La dérivation

 

Les possibilités sont nombreuses selon les besoins de chacun, elle peuvent être installés dans différentes configurations. Ici nous allons parler de la fonction qui nos intéresse, le mélange: utilisé sur les circuits de chauffage.

 Pourquoi utiliser une vanne de mélange sur les installations.

 La quasi totalité des installations anciennes avec chaudière de sol (mazoute) en sont équipés la vanne trois voies est un composant des plus important de l'installation, c'est sur cet élément que nous réglons la température de départ du fluide vers les radiateurs, en général ce réglage se fait manuellement, plus la température extérieur baisse et plus on doit ouvrir la vanne de mélange sur le circuit principal.

 Les bruleurs plus anciens n’ont qu'un seule vitesse de fonctionnement, soit ils sont allumés ou éteins, donc ils produisent toujours un chauffage a température très élevé particulièrement en périodes avec température extérieurs douce.

 Les bruleurs plus modernes sont deja plus sophistiques et sont munis de deux vitesses, donc ils on deja la possibilité de produire plus ou moins en fonction des besoins.

 Les bruleurs actuelles de haut de gamme sont deja munis de 4 vitesses (certains modèles) donc ils adaptent quasiment la production a la demande.

 Les bruleurs multi-vitesses sont forcement pilotes par une régulation externe ou interne a la chaudière.

 Lors de l'utilisation d'une régulation avec action sur vanne, celle ci doit forcement être motorisé dont automatique, la régulation ouvre ou ferme la vanne de manière a obtenir la température de départ adéquate pour chauffer idéalement le local, pour permettre cette ouverture ou fermeture la régulation se réfère a une température prélevé sur le tube de départ au moins 50cm après la vanne de mélange.

 Fonctionnement: Les vannes trois voies permettent de mélanger une partie de l'eau qui reviens vers la chaudière a celle qui part vers les radiateurs afin d'obtenir la température souhaité, si la température du retour est aussi elevé que celle demandé par la régulation, la vanne se ferme totalement, ce qui empêche l'eau de la chaudière de circuler, donc l'arrêt de la chaudière.

 les vannes 4 voies

 Les vannes 4 voies fonctionnent de la même manière que les trois voies mais en plus elles permettent de mélangeur une partie de l'eau sortante de la chaudière a celle qui viens des radiateurs, ceci afin de limiter l'usure de la chaudière par l'entré d'une eau tiède sur une corps de chauffe qui lui est a haute température.

 Le point de rosé

 Sur l'image d’illustration, on aperçois un circuit pointillé sur le retour, c'est la différence entre la vanne 3 et 4 voies, sur ce schéma c'est donc l'eau du retour a laquelle un peut d'eau du départ est mélangé afin que l'eau ne rentre pas trop froide sur la chaudière.

 Ce phénomène décrit juste au dessus s’appelle le point rosé qui est très mal supporté par les chaudières anciennes, le point rosé provoque une corrosion accéléré du corps de chauffe, usure en quelques années seulement.

  
9 sonde de départ :3 mesures

 Un régulateur climatique est un appareil électronique qui

 mesure en permanence à l.aide de sondes:

 la température extérieure

 la température de l.eau qui circule dans l.installation

 (température de départ)

 la température ambiante dans un local de référence

 (facultatif).